Alors qu’il se trouvait au Maroc pour assister au mariage d’un cousin, Yassine Sekkat a éprouvé ses premiers symptômes de sclérose en plaques (SP).
Après avoir éprouvé des tremblements incontrôlables et des difficultés à marcher, il a consulté son médecin de famille qui l’a dirigé vers un neurologue. Un examen d’imagerie par résonance magnétique (IRM) a confirmé la présence de lésions cérébrales, indice révélateur de la SP.
Yassine Sekkat a consulté plusieurs médecins avant qu’on le confie aux soins du Dr Alex Saveriano, du Neuro, qui lui a prescrit Copaxone et qui lui a recommandé d’adhérer à un essai clinique sur l’ocrélizumab, soit Ocrevus, mené par . Yassine était l’un des quelque cinq participants.
Des essais antérieurs ont démontré qu’Ocrevus diminue le nombre de nouvelles poussées chez les patients qui, comme Yassine, sont atteints de sclérose en plaques rémittente. L’essai clinique auquel participait Yassine avait pour objet d’examiner les effets du médicament sur les patients atteints de SP nouvellement diagnostiquée.
Depuis, Yassine n’a pas subi de nouvelle poussée et, bien qu’il soit impossible de déterminer si cela est attribuable au médicament, il considère néanmoins que son expérience comme participant à l’étude clinique a été bonne.
« En tout temps, le personnel vise l’excellence. Je n’aurais jamais cru recevoir autant d’attention de la part du Neuro et de son personnel qui se dévoue corps et âme. Peu importe la situation, ils font vraiment des pieds et des mains pour accommoder et aider le patient. Je me suis fait de véritables amis au Neuro. J’y reçois des soins depuis un an et demi seulement et, déjà , j’ai noué des liens solides avec les membres de l’équipe. »
En collaboration avec le personnel de la clinique de la SP du Neuro, Yassine s’adapte à sa nouvelle vie. Il rencontre le Dr Saveriano à intervalles réguliers pour assurer le suivi de son état et il consulte un physiothérapeute pour atténuer ses problèmes d’équilibre.
«À 27 ans, du jour au lendemain, on ne plus marcher. On doit alors surmonter une foule de problèmes. Il faut retrouver l’équilibre et se rendre en physiothérapie : tout se complique. Ma vie a été totalement bouleversée. »
Ajoutons que Yassine a adopté un régime alimentaire plus sain dont il exclut pratiquement tout sucre et réduit l’apport en viande. Malgré la SP, il affirme vivre plus sainement que jamais.
Si l’adaptation à la SP a demandé de grands efforts, Yassine soutient que le personnel du Neuro lui a fourni la meilleure aide possible.
« Le Neuro a vraiment été fantastique », ajoute-t-il. Et le personnel, de même que le médicament en soi, m’ont permis d’obtenir des résultats fabuleux. Je n’ai pas eu de poussée et mon état s’est continuellement amélioré. Je suis extrêmement reconnaissant. »