Ã山ǿ¼é

ɱ¹Ã©²Ô±ð³¾±ð²Ô³Ù

La zone franche d’exportation et la régulation du travail en Afrique subsaharienne: trois exemples

Vendredi, 19 ´Úé±¹°ù¾±±ð°ù, 2016 13:00à14:30
Chancellor Day Hall NCDH 609, 3644 rue Peel, Montreal, QC, H3A 1W9, CA

Une conférence sur le développement économique et le libre échange en Afrique subsaharienne avec , chercheure postdoctorante au CRIMT, organisée par le Laboratoire de recherche sur le droit du travail et le développement  (LLDRL).

¸éé²õ³Ü³¾Ã©

Force est de constater que l'instrument de la zone franche d'exportation est aujourd'hui relativement banalisé. L’idée dans les années 1990 qu’il ne pouvait s’agir que d’une politique transitoire n’a pas été démontrée bien que l’on repère d’anciens et de nouveaux modèles d’installation de zones franches dans les pays en développement.

Cet atelier proposera d’analyser ces politiques de développement économique en s’appuyant principalement sur des données de trois pays voisins d’Afrique de l’ouest que sont le Ghana, le Togo et le Bénin et à partir d’une réflexion sur le droit comme élément du dispositif concret de la zone franche d’exportation.

La notion d’instrument telle que reprise par Lascoumes et Le Galès en 2005 servira d’appui à cette proposition d’analyse, qui sera par ailleurs menée en s’inspirant d’approches de la géographie du droit.

À partir de l’exemple controversé de la question du travail et de ses régulations dans ces espaces, la problématique visera à repérer en quoi l’évolution de ces programmes dans les différentes composantes du dispositif qui les caractérise traduit tout à la fois un déploiement d’une logique fonctionnelle propre de l’instrument et une mise en cause ou contestation de sa forme d’ « autonomie » à partir du contexte institutionnel et politique plus large.

Back to top