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Neuf chercheurs de Ã山ǿ¼é sélectionnés pour les chaires en IA Canada-CIFAR

Les chercheurs se joindront à leurs collègues de Ã山ǿ¼é et de l’Université de Montréal pour travailler à Mila, l’un des plus grands carrefours de recherche en intelligence artificielle (IA) au monde.
±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 9 December 2019

Le CIFAR a annoncé aujourd’hui les nouveaux titulaires des chaires en IA Canada-CIFAR, dont 9 chercheurs de l’Université Ã山ǿ¼é, qui en compte désormais 17 au total dans le programme. Ces chercheurs universitaires de haut calibre font partie de la Stratégie pancanadienne en matière d’intelligence artificielle – dont le budget est fixé à 125 millions de dollars –, la toute première stratégie nationale en son genre. Le programme de chaires en IA Canada-CIFAR représente un investissement de 30 millions dans neuf universités et mobilise plus de 150 chercheurs des quatre coins du pays.

« Cette sélection illustre la contribution essentielle que Ã山ǿ¼é se doit d’apporter dans le milieu dynamique et concurrentiel de l’intelligence artificielle, explique Martha Crago, vice-principale à la recherche et à l’innovation. Elle exemplifie également notre volonté de mieux comprendre cette technologie, qui a des ramifications étendues dans de nombreux domaines, dont la médecine, le génie et le développement durable. Le développement de Mila avec l’Université de Montréal a mené à l’établissement d’un partenariat fructueux entre nos universités. »

« Félicitations aux chercheurs exceptionnels qui intègrent le prestigieux programme de chaires en IA Canada-CIFAR, ajoute Alan Bernstein, président et chef de la direction du CIFAR. Le Canada et le CIFAR appuient depuis longtemps la recherche et les talents en intelligence artificielle, et ce programme consolidera notre position de chef de file mondial dans le domaine. »

Les nouveaux titulaires rejoindront leurs collègues de l’Université de Montréal à Mila, l’institut national d’intelligence artificielle situé à Montréal. L’un des tout premiers centres de recherche au monde dans ce domaine, il rassemble 350 chercheurs qui étudient cette technologie perturbatrice. Toutes les mises en candidature pour les chaires ont été évaluées par un comité scientifique consultatif international, composé entre autres de représentants de Google, DeepMind, Microsoft, Facebook, Stanford et Princeton, et du Centre national de la recherche scientifique. Les tout derniers professeurs de Ã山ǿ¼é à venir grossir les rangs de Mila en tant que titulaires d’une chaire en IA Canada-CIFAR sont les suivants :

  • Tal Arbel (génie)
  • Danilo Bzdok (médecine)
  • Fernando Diaz (sciences)
  • Christophe Dubach (génie et sciences)
  • Nicolas Le Roux (sciences)
  • Timothy O’Donnell (arts)
  • Courtney Paquette (mathématiques)
  • Siamak Ravanbakhsh (sciences)
  • Siva Reddy (arts et sciences)

Depuis le lancement du programme en décembre 2018, 80 chaires en IA Canada-CIFAR ont été octroyées (en comptant celles d’aujourd’hui), ce qui permet au Canada de rassembler une expertise et des talents de calibre mondial. Ce pôle d’expertise en intelligence artificielle attire au pays des étudiants brillants ainsi que de grandes multinationales, qui y ouvrent des laboratoires de recherche et développement, et stimule la création d’une masse critique d’entreprises en démarrage dans le domaine.

L’Université Ã山ǿ¼é

Fondée en 1821, à Montréal, au Québec, l’Université Ã山ǿ¼é figure au premier rang des universités canadiennes offrant des programmes de médecine et de doctorat. Année après année, elle se classe parmi les meilleures universités au Canada et dans le monde. Grand établissement et haut lieu de la diversité, l’Université Ã山ǿ¼é exerce ses activités de recherche dans deux campus, 11 facultés et 13 écoles professionnelles; elle compte 300 programmes d’études et au‑delà de 40 000 étudiants, dont plus de 10 200 aux cycles supérieurs. Elle accueille des étudiants originaires de plus de 150 pays, ses 12 800 étudiants internationaux représentant 31 % de sa population étudiante. Au‑delà de la moitié des étudiants de l’Université Ã山ǿ¼é ont une langue maternelle autre que l’anglais, et environ 19 % sont francophones.

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