Le Projet Verglas, mené par la professeure en psychiatrie Suzanne King, étudie les conséquences du stress subjectif (ressenti) et objectif (mesuré, par exemple, par le nombre de jours sans électricité) vécu par les femmes enceintes au moment de cette catastrophe naturelle qui a figé sous la glace et plongé dans le noir une grande partie du Québec en janvier 1998. Il suit régulièrement et depuis 20 ans des « enfants du verglas », nés dans la foulée de cet événement.