Des scientifiques de l’Université de Montréal et de l’Université 山ǿ ont développé et testé une nouvelle méthodologie génomique qui a permis de révéler la présence d’un écosystème bactérien présent dans la Station spatiale internationale (SSI). À ce jour, peu était connu sur les différents types de microbes présents sur la station spatiale. La nouvelle approche permet d’identifier et de cartographier les différentes espèces de bactéries à l’intérieur de la station.
Par Meaghan Thurston
Elwyn était un bébé de 13 mois qui paraissait en pleine santé lorsqu’elle a commencé à boire de l’eau dans la baignoire. Elle avait de plus en plus soif et exigeait de plus en plus souvent d’être allaitée, et ses couches devenaient plus lourdes. Ses parents n’y voyaient là que des signes de croissance. Toutefois, ils ont un jour remarqué que leur fille était anormalement faible et ils se sont précipités à l’urgence. Elwyn a reçu un diagnostic de diabète de type 1; elle avait déjà développé une complication potentiellement mortelle de cette maladie : l’acidocétose diabétique.
La collecte de données en ligne dans le cadre de projets de science citoyenne pourrait se révéler utile pour cartographier la répartition d’espèces rares dans la nature. C’est ce qui ressort d’une étude de YifuWang et de ses collègues de l’Université山ǿ, publiée le 8août dans la revue en accès libre.
Des chercheurs de l’Université 山ǿ ont découvert une façon plus écologique de produire des éٴDzԱ, composés chimiques utilisés couramment dans la fabrication de produits pharmaceutiques. On trouve les éٴDzԱ dans une grande diversité de produits chimiques utiles, mais elles sont généralement obtenues au moyen de technologies énergivores, qui nécessitent plusieurs étapes et produisent de grandes quantités de déchets chimiques.
Le point le plus chaud d’une èٱ gazeuse gravitant près d’une étoile distante ne se situe pas là où les astrophysiciens pensaient le trouver. Cette découverte interpelle les scientifiques, qui s’interrogent sur leur compréhension des nombreuses èٱs de ce type peuplant les autres systèmes solaires.
Qu’il s’agisse de la maîtrise d’un sport ou d’un instrument de musique, la répétition est essentielle à l’apprentissage. Comme le dit le vieil adage, c’est en forgeant qu’on devient forgeron. Ce principe s’applique également à l’entraînement cérébral, démarche non effractive prometteuse pour pallier les déficiences consécutives à une maladie ou à un traumatisme neurologiques.
Pour la première fois, des astronomes ont repéré la galaxie hôte d’un sursaut radio rapide(SRR). Les scientifiques disposent ainsi d’un élément de plus pour déterminer la cause de ces ondes radioélectriques puissantes, mais fugaces. Ces impulsions de quelques millisecondes seulement intriguent les astrophysiciens depuis leur découverte, il y a une dizaine d’années.
Par Katherine Gombay
Une bonne nouvelle en perspective pour les babyboomers: des chercheurs croient avoir mis au point une prothèse de la hanche plus durable et moins susceptible d’entraîner des complications, par rapport à celles dont on dispose à l’heure actuelle. Le secret? Un implant qui «leurre» le tissu osseux hôte pour l’aider à rester vivant, grâce à sa structure qui imite la porosité variable des os.
Une étude sur l’hibernation du crapaud nous éclaire sur le changement climatique
La capacité de prédire le moment où les crapauds du sud du Canada sortent de leur hibernation pourrait permettre aux scientifiques de mieux comprendre les effets des changements climatiques sur diverses espèces d’animaux et de plantes.
Nouvelles données sur le vieillissement normal du cerveau
L’incapacité de se souvenir de détails comme l’endroit où l’on a mis ses clés se manifeste au cours de la quarantaine et, d’après des chercheurs de l’Université 山ǿ, s’expliquerait par la réorientation de l’attention sur d’autres informations durant la formation et la remémoration des souvenirs, plutôt que par le déclin des fonctions cérébrales.
Soutien de six programmes de recherche, des neurosciences aux écosystèmes arctiques