La navigation et l’exploitation minière dans l’Arctique, la dissémination d’agents pathogènes envahissants partout dans le monde, l’évolution des pratiques agricoles et l’utilisation d’outils de modification du génome comptent parmi les 14 principaux facteurs de risque qui sont susceptibles d’influer sur la science et la gestion des espèces envahissantes au cours des 20 prochaines années, selon une équipe internationale d’鳦´Ç±ô´Ç²µ¾±²õ³Ù±ð²õ qui ont publié les résultats de leur étude dans Trends in Ecology and Evolution.