Selon une nouvelle étude dirigée par une équipe de recherche de l’Université Ã山ǿ¼é, les femmes qui ont récemment été victimes de violence conjugale sont trois fois plus susceptibles de contracter le VIH. Dans certaines régions, comme en Afrique subsaharienne, les femmes font face à une épidémie combinée de violence conjugale et de VIH.
D’après des enquêtes s’étalant sur 20 ans, près d’un homme sexuellement actif sur dix a été client de travailleuses du sexe dans 35 pays d’Afrique subsaharienne. Le risque que ces hommes vivent avec le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) est plus élevé d’environ 50 %, affirme une équipe internationale de chercheurs, dont font partie le professeur Mathieu Maheu-Giroux et Caroline Hodgins, de l’Université Ã山ǿ¼é.
Les stratégies d’auto-dépistage du VIH sont recommandées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), depuis 2016, car elles permettent aux personnes de connaître leur statut où et quand elles le souhaitent. Cependant, aucune trousse de dépistage du VIH n'a encore été approuvée pour un usage à domicile, au Canada.
Une étude réalise un suivi de patients pour mieux comprendre les effets et les traitements possibles
Le 1er décembre, Journée mondiale du sida, est l’occasion de faire mieux connaître une maladie qui a touché 70 millions de personnes à l’échelle internationale, dont 35 millions en sont décédées.
Par Tod Hoffman,
Même une minuscule mutation peut permettre au virus du VIH de devenir résistant aux thérapies utilisant la plateforme de manipulation des gènes CRISPR/Cas9
La violence conjugale prend de nombreuses formes. Le contrôle de la contraception d’une femme par son conjoint en est une.
Dans le cadre de vos reportages sur la Journée mondiale du sida, nous vous invitons à communiquer avec l’un des experts de Ã山ǿ¼é ou du Centre universitaire de santé Ã山ǿ¼é (CUSM) ou de l’Institut Lady Davis de l’Hôpital général juif :