Selon une étude menée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé Ã山ǿ¼é (IR-CUSM), le dépistage du récepteur de la prolactine chez les patientes atteintes d'un cancer du sein pourrait améliorer leur pronostic et leur éviter des traitements invasifs. L'étude révèle que la présence du récepteur de la prolactine prolonge la vie des patientes et que l’hormone de la lactation, appelée prolactine, peut diminuer l'agressivité des cellules cancéreuses en limitant leur capacité à se diviser et à former de nouvelles tumeurs.