Une nouvelle étude publiée par l’équipe de Naguib Mechawar, Ph.D., chercheur du Groupe Mcgill d’Études sur le Suicide (GMES) à l’Institut Douglas (CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île de Montréal) et professeur agrégé au département de psychiatrie de l’Université 山ǿ, jette un nouvel éclairage sur l’implication des astrocytes dans la éDz. Les astrocytes, un type de cellules non-neuronales, ont déjà été impliqués dans la éDz et le suicide. Toutefois, on ne savait pas si ces cellules étaient perturbées dans tout le cerveau ou seulement dans certaines régions.
Le dépistage des gènes dont le lien potentiel avec le cancer du sein n’a pas encore été prouvé n’est pas justifié et est potentiellement dangereux, selon une équipe internationale d’éminents généticiens et oncologues dans un article publié cette semaine dans le New England Journal of Medicine.
Il n’y a que de l’eau sur cette carte! En fait, ces lignes minuscules représentent les 24 millions de kilomètres de è de la planète. C'est l'une des photos sélectionnées pour le concours d'images scientifiques "La preuve par l'image" et on la doit à la doctorante en éDz Camille Ouellet Dallaire.
Un don d’un million de dollars d’un diplômé du Collège Macdonald, J. William Ritchie (B. Sc., Agr., 1951), permettra de soutenir les efforts de la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’environnement de l’Université 山ǿ visant à élargir l’accès du campus Macdonald aux visiteurs et à informer le public sur le rôle essentiel de l’agriculture dans la chaîne d’approvisionnement alimentaire.
Si les joueurs de jeux vidéo d’action font preuve d’une attention visuelle plus efficace, ils sont également bien plus susceptibles d’employer des stratégies de navigation qui font appel au circuit de la récompense du cerveau (le noyau caudé) mais pas au siège de la mémoire spatiale dans le cerveau (l’hippocampe). Des recherches effectuées précédemment ont montré que les personnes qui utilisent des stratégies de navigation dépendant du noyau caudé ont une diminution de la substance grise et de l’activité cérébrale fonctionnelle dans l’hippocampe.
Pour des millions de Canadiens, l’arrivée du printemps marque le rituel des éternuements et d’une respiration sifflante causés par leurs allergies saisonnières.