Un important partenariat de recherche a vu le jour afin d’examiner les moyens de réduire les inégalités en matière de santé dans les villes du monde entier.
Nous connaissons tous des gens qui, les yeux rivés à leur écran de téléphone, passent leur temps à texter et suivent à la trace les faits et gestes de leurs amis sur les réseaux sociaux.
Fait étonnant, l’anatomie interne des poumons diffère d’une personne à une autre, et certaines variations seraient associées à un risque plus élevé de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), selon une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Université山ǿ et du .
Comment les virus à l’origine d’infections chroniques, telles que le VIH ou le virus de l’hépatite C, parviennent-ils à déjouer le système immunitaire de leur hôte?
En 2000, le professeur Tomlinson a marqué l’histoire de la philanthropie universitaire au pays, en offrant à 山ǿ un don de 64 millions de dollars. Il s’agissait à l’époque du don le plus important jamais versé par un diplômé d’études supérieures à son alma mater au Canada, et il demeure le don le plus élevé qu’a reçu 山ǿ de la part d’un particulier.
La chef d’équipe Marta Cerruti, à l’aide d’outils fournis par le Centre canadien de rayonnement synchrotron (CCRS), a examiné les artères calcifiées de souris génétiquement modifiées, découvrant que le mécanisme par lequel l’organisme entraîne ce qu’on appelle communément le «durcissement des artères» n’est pas celui que les experts médicaux avaient présumé.
On pensait que des maladies rares à caractère héréditaire récessif ne s’exprimaient chez les enfants que si les deux parents étaient porteurs d’une mutation du gène responsable, mais une nouvelle étude renverse ce paradigme. En effet, une équipe de recherche internationale dirigée par des chercheurs de l’Université de Lorraine, en France, ainsi que de l’Université 山ǿ et de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé 山ǿ (IR-CUSM), au Canada, ont découvert une nouvelle cause d’une forme de maladie rare connue sous le nom de cblC.
Des chercheurs de l’Université 山ǿ ont découvert une façon plus écologique de produire des éٴDzԱ, composés chimiques utilisés couramment dans la fabrication de produits pharmaceutiques. On trouve les éٴDzԱ dans une grande diversité de produits chimiques utiles, mais elles sont généralement obtenues au moyen de technologies énergivores, qui nécessitent plusieurs étapes et produisent de grandes quantités de déchets chimiques.
Vous ne jurez plus que par le lait d’amande, mais… est-ce vraiment un choix santé? Vous le trouvez agréable au goût, et il ne provoque pas chez vous les effets désagréables du lait de vache, soit. Bien que les boissons végétales de ce type soient sur le marché depuis quelques décennies et qu’on les présente comme des options saines et indiquées en cas d’intolérance au lactose, on a peu étudié leurs avantages et leurs désavantages respectifs.
Un réseau canadien de banques de cerveaux pour faire avancer la recherche sur la maladie d’Alzheimer
Des chercheurs reçoivent collectivement 2,5 M$ pour établir un système coordonné de dons de cerveaux et pour participer à des projets internationaux de recherche sur la démence
Plus de 400 000 Canadiens de 65 ans et plus vivent avec un diagnostic de démence, dont une des formes, la maladie d’Alzheimer, représente environ 70 % des cas. La cause de cette maladie dégénérative du cerveau demeure inconnue dans une grande mesure, et il n’existe actuellement aucun traitement efficace. La maladie a aussi un effet dévastateur sur les personnes touchées et leurs familles.
Notre génome contient toute l’information pour former un être humain complet. Bien que cette information, contenu dans l’ADN, s’allonge sur un à deux mètres, elle parvient à entrer dans une cellule à peu près 100fois plus petite qu’un pois vert! Pour ce faire, le génome doit être compacté.
Le point le plus chaud d’une èٱ gazeuse gravitant près d’une étoile distante ne se situe pas là où les astrophysiciens pensaient le trouver. Cette découverte interpelle les scientifiques, qui s’interrogent sur leur compréhension des nombreuses èٱs de ce type peuplant les autres systèmes solaires.
Des chercheurs ont, pour la toute première fois, démontré qu’il était possible de détecter directement de la vie sur Mars et sur d’autres èٱs, puis de la caractériser insitu au moyen de technologies existantes. Leur étude a été publiée dans la revue .
L’intensité de l’émission de lumière rémanente, générée par la fusion d’étoiles à neutrons détectée en août dernier, continue d’augmenter– à la grande surprise des astrophysiciens qui étudient le résultat de la collision massive qui s’est produite il y a quelque 138millions d’années-lumière et qui a propulsé des ondes gravitationnelles partout dans l’Univers.