Les domaines de la recherche en santé
L'Institut de recherche du Centre universitaire de santé Ã山ǿ¼é poursuivra des recherches dans des domaines aussi variés que le cancer, les maladies cardiaques, la reproduction humaine, la génétique médicale, la santé mentale, les troubles musculo-squelettiques, les neurosciences et la santé publique, grâce au financement obtenu du principal organisme fédéral responsable du financement de la recherche en santé au Canada. La ministre fédérale de la Santé, Ann McLellan, a annoncé récemment que vingt-cinq scientifiques de l'Institut de recherche du CUSM recevront des subventions du programme de financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).
« Je suis extrêmement fier des réalisations de nos chercheurs. Ce financement facilitera le maintien au sein de notre Institut d'un solide environnement de recherche en santé; il nous permettra de lancer plusieurs nouveaux projets et de recruter de nouveaux chercheurs. Les résultats de ce concours national renforcent notre position de principal établissement universitaire de recherche en santé au Canada », a déclaré le Dr Emil Skamene, directeur scientifique de l'Institut de recherche du CUSM.
Trente-cinq pour cent des demandes de subventions présentées par l'Institut de recherche du CUSM obtiendront un financement. Ce taux de succès est supérieur à la moyenne nationale. Figurent au nombre des titulaires de subventions : le Dr David Goltzman, qui étudiera le rôle des hormones dans la croissance osseuse et le développement, le Dr Ann Clarke, qui explorera les caractéristiques du lupus, et le Dr Marcel Behr, qui se penchera sur l'efficacité des vaccins contre la tuberculose.
Le mandat des IRSC est « d'exceller selon les normes internationales reconnues d'excellence scientifique, dans la création de nouvelles connaissances et leur application en vue d'améliorer la santé de la population canadienne, d'offrir de meilleurs produits et services de santé et de renforcer le système de santé au Canada. »
« Nos programmes de recherche «, dit le Dr Skamene, «qui sont étroitement reliés aux pratiques cliniques du CUSM, représentent notre apport à l'allégement de la souffrance et à la découverte médicale, piliers de la nouvelle économie du savoir. »